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«Ton pénis est à moi maintenant». C’est en ces termes que le pirate a annoncé à l’une de ses victimes qu’il contrôlait désormais son jouet sexuel. Des mots qui prennent tout leur sens quand on connaît le principe de ces ceintures, utilisées dans les milieux BDSM : ces cages connectées servent à emprisonner le sexe pour empêcher les érections.
En piratant le système connecté, le hacker contrôle ainsi à distance l’ouverture ou la fermeture de la ceinture de chasteté.
Une autre victime, citée par Vice, explique que le pirate a réclamé une rançon de 0,02 bitcoins, soit environ 567 euros, pour déverrouiller l’appareil. Par chance, le propriétaire ne portait pas le jouet sexuel à ce moment-là.